
Respirer
Il y a eu la rentrée des classes et la rentrée littéraire : voici maintenant venu le temps de la rentrée…
Il y a eu la rentrée des classes et la rentrée littéraire : voici maintenant venu le temps de la rentrée…
Ah! ces vieux clichés, ces croyances populaires et ces opinions stéréotypées… « Moi, je n’ai pas de préjugés », entend-on parfois, de la…
Septembre : le mois des belles résolutions, de la préparation pour de nouveaux apprentissages et des visions vers les nouveautés qui pointent leur…
La rentrée des classes, qu’on ait des enfants ou pas, a toujours un petit air de fête, n’est-ce pas? Il y a comme…
L’actualité – qu’elle soit locale ou internationale – présente souvent un tableau anxiogène de notre monde. Sécurité alimentaire en danger, dérèglement climatique, crise sociale, instabilité économique… Les rapports tombent et les statistiques dépriment. Pourtant, l’espoir de vivre un demain qui soit « bien » n’est pas hors de portée.
Les congés scolaires viennent de commencer, le soleil ravive nos couennes blanchies par les mois de froid et de noirceur. Aucun doute : la période estivale arrive! Avec elle, beaucoup d’entre nous revoient à l’horizon une option longtemps mise de côté : la mobilité.
Le monde dans lequel nous vivons nous demande de plus en plus d’être flexible. Horaires flexibles, salles de classe flexibles, compétences flexibles… la liste est longue. Pourtant, cette flexibilité est-elle toujours un signe de progrès?
Le joli mois de mai, dit-on. Célébrations, chants d’oiseaux, retour de la lumière et… tempête de neige! La routine quoi. C’est drôle comme certaines choses reviennent avec une régularité rassurante, tandis que d’autres refont surface avec une récurrence déconcertante.
Aujourd’hui, deux jours après la Journée mondiale de la liberté de la presse (3 mai), j’aimerais qu’on réfléchisse ensemble sur ce concept encore un peu flou : la liberté.
Le soleil se rapproche de nous et réchauffe le sol autant que nos cœurs, surtout pour ceux et celles qui ont profité de cette longue fin de semaine pour s’évader un peu. Pourtant, tout est relatif.