
Linguistique
Quelques jours après la Journée internationale de la francophonie, j’aimerais qu’on s’attarde un peu sur un mot qui est sur beaucoup de bouches : linguistique. Le français est l’objet de bien des questionnements.
Quelques jours après la Journée internationale de la francophonie, j’aimerais qu’on s’attarde un peu sur un mot qui est sur beaucoup de bouches : linguistique. Le français est l’objet de bien des questionnements.
Mars était à l’origine le dieu romain de la guerre, symbole de la force et de la puissance masculine. Mais aujourd’hui, c’est aussi le mois de la lutte pour les droits des femmes, un mois où sont célébrées leur force et leur résilience face aux inégalités qui persistent.
Cette semaine, c’est sans conteste le fait d’aller de l’avant et d’essayer de nouvelles choses qui se lit à travers nos pages. Et parce que pour aller de l’avant il faut parfois se questionner, c’est à vous que nous laissons le micro, et la page blanche.
Je vais vous avouer quelque chose : avant de travailler pour un journal, le mot « archive » était peu dans ma vie, et je ne le trouvais pas super sexy. Qui avait envie — pensait mon moi de l’époque — de classer et trier de vieilles affaires?
Encore une fois, l’édition de l’Aurore boréale que vous tenez dans vos mains ou que vous épluchez sur votre écran fait état des engagements de la communauté francophone, quel que soit le domaine. En voyant tous ces beaux projets, ça donne le goût de s’impliquer, d’une façon ou d’une autre.
« Bonne année! » entend-on partout. Mais c’est quoi une « bonne année », au juste? Est-ce que c’est une année sans obstacles, sans adversité, sans peine? Est-ce une année où nos attentes sont comblées, nos objectifs atteints sans entraves, sans défis et sans délais?
Le temps des fêtes, c’est la saison du don. Offrir un peu de joie, d’espoir ou un sourire, c’est à la portée de toutes et tous.
Au moment d’écrire ces lignes, je suis en plein Médiarama Canada : le tout premier rassemblement du monde du journalisme professionnel francophone en milieu minoritaire. Le but : sortir plus forts pour continuer à vous fournir de l’information fiable, de qualité, et qui vous touche.
Comme beaucoup de mots de la langue française, le mot « partage » a plusieurs sens. Étonnamment, le premier sens du mot, que l’on trouve aisément en ouvrant un dictionnaire, se situe dans la notion de la division. Pour partager un gâteau, par exemple, cette définition souligne qu’on va devoir le diviser en différentes parties, plus ou moins égales.
Entre traditions, commémorations, histoires et archives, nous vous proposons aujourd’hui une édition dans laquelle le thème du souvenir se dessine.