
Crises à Haïti : Morgan Wienberg revient temporairement au Yukon
À Haïti, la situation se détériore. Pour Morgan Wienberg, une Yukonnaise qui a déménagé à Haïti il y a 10 ans, c’est du jamais vu.
À Haïti, la situation se détériore. Pour Morgan Wienberg, une Yukonnaise qui a déménagé à Haïti il y a 10 ans, c’est du jamais vu.
Queer Yukon Society a tenu son assemblée générale annuelle (AGA) en ligne et en présentiel le 29 novembre, précédée par une assemblée générale spéciale lors de laquelle les règlements de la société ont été actualisés.
À Whitehorse, l’heure est encore aux essais pour organiser des rencontres avec des équipes d’intervention sociale pour les personnes n’ayant nulle part ailleurs où aller en hiver.
Le 25 novembre a marqué la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, ainsi que le début de la campagne des 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le genre. Seize jours pour tirer la sonnette d’alarme et passer à l’action.
Les organismes de défense des droits des femmes au Yukon s’attaquent aux problèmes systémiques lors de la campagne des 16 jours contre la violence basée sur le genre, qui débute le 25 novembre.
Aux quatre coins du pays, plusieurs organismes regroupant des travailleurs et travailleuses du sexe exigent l’abolition de la Loi sur la protection des collectivités et des personnes victimes d’exploitation.
Cette semaine (du 6 au 12 novembre), c’est la Semaine nationale de l’immigration francophone. En plus court, on l’appelle la SNIF.
Florian Boulais sera invité à présenter un discours lors de la cérémonie officielle qui aura lieu à Whitehorse, à l’occasion du jour du Souvenir.
Le service pour les personnes aînées de l’Association franco-yukonnaise (AFY) présente une conférence pour les personnes du troisième âge, intitulée « Quand l’âgisme persiste et signe : quelques études récentes sur ce point aveugle des discriminations ».
Dès l’an prochain, le ministère de l’Immigration veut augmenter le seuil de résidents permanents à 465 000 personnes pour atteindre progressivement 500 000 en 2025. Mais la cible de 4,4 % d’immigrants francophones hors Québec d’ici fin 2023 reste inchangée.